Petite balade sur la colline =)

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Et voilà ! C'était enfin le jour J : le jour du départ. Kitaii avait minutieusement tout préparé plusieurs jours auparavant, et ses valises étaient prêtes aux aurores. C'est d'ailleurs très tôt dans la matinée que son chauffeur vint se garer devant chez elle. Il n'eut pas besoin de klaxonner, l'adolescente était déjà dehors. Elle lui tendit d'ores et déjà la liasse de billet qu'elle lui devait pour l'avoir fait venir si tôt, et lui encombrer quelques heures de cette si belle journée. Enfournant ses valises dans le coffre, elle prit ensuite place du côté passager, et se laissa guider sur la route. A travers la fenêtre, elle contemplait le paysage, sans toutefois y prêter réellement attention. Les images se succédaient, et passaient d'un champ magnifique -quoi que Kitaii n'aime pas du tout la campagne- à des villes polluées et surpeuplées.

C’est avec à peine un regard pour ce qui l’entourait qu’elle continuait à rouler. Elle déplorait ce manque d’intérêt mais elle n’y pouvait rien. Elle était quelqu’un de mauvais et si elle n’avait pas d’âme, cela ne pouvait être que de sa faute. Mais elle avait beau penser mériter ce froid intérieur constant, elle ne parvenait pas à s’empêcher de se sentir soulagée quand son cœur criait enfin le nom d’une émotion. Même si ce n’était que de la souffrance, il battait pour quelque chose dans ces moments là… Bien qu’elle ne recherche pas la souffrance exprès, elle ne faisait rien pour l’éviter, contrairement au reste de la population humaine. Certes, Kitaii aurait été un spécimen parfait pour un psy adepte des maux de tête. Malheureusement pour tous ceux qui avaient essayé, si Kitaii détestait bien une chose, c’était qu’on essaie de la comprendre, qu’on l’analyse… Et sa colère avait quelque chose d’effrayant et de dévastateur.

Une voix la sortit alors de ses pensées. Ou plutôt, de son absence de pensées. Cohérentes du moins. Il fallut un temps à la jeune femme pour réaliser que c'était à elle que l'on s'adressait. En réalité, son chauffeur même lui affirmait qu'ils étaient arrivés. Kitaii n'avait pas vu le temps passer. Dix heures, déjà. Cela faisait maintenant deux bonnes heures et demi qu'ils avaient tous deux pris la route, et leur voyage prenait fin. L'adolescente remercia vaguement l'homme qui l'avait accompagnée jusqu'ici, reprit ses bagages inhumainement lourds, et se dirigea d'un pas décidé vers l'accueil. Elle y demanda les clefs de sa chambre, et prit connaissance des formalités liées à l'établissement, puis se dirigea rapidement en direction de l'endroit où elle pourrait lâcher tout ce poids qui lui anéantissait les épaules. Une fois déchargée, elle sortit du bâtiment, ayant tout de même toujours sa guitare sur le dos. Elle avait envie de prendre un peu l'air.

Elle marchait depuis un bout de temps lorsqu'elle trouva enfin un endroit qui lui plaisait. Une colline, entourée de cerisiers encore -et étrangement d'ailleurs- en fleurs. Elle s'assit au pied de l'un d'eux, et commença à jouer un morceau de guitare qu'elle avait apprit lors de sa première année. Lorsqu'elle en eut marre de faire vibrer les cordes de son instruments dans des accords mélodieux et sans aucune fausse note, puisqu'on lui avait toujours appris à être parfaite dans tout ce qu'elle entreprenait, Kitaii reprit sa contemplation du vide. Les yeux rivés sur l'horizon, fixant un point imaginaire, elle ne remarqua même pas que quelqu'un approchait...

Au bout ½ heure de course effrénée sans réellement regarder où j’allais… Je me suis retrouvée sur une colline avec des cerisiers. Je crois que je n’ai jamais vu un endroit aussi beau : les cerisiers étaient en fleure et laissés tomber quelques pétales de ci de là qui reflétait de temps à autre le soleil donnant l’impression que l’atmosphère elle-même brillait. Je crois mettre égarer un moment parce que sans en avoir vraiment conscience j’avançais lentement dans cet endroit presque irréel.

Puis comme si la nature avait décidé que rien ne pouvait tacher la beauté de ce lieu c’est presque sans étonnement que je vie une fille des plus belles assise avec simplicité, prés d’un tronc, dans l’ombre du cerisier et où des touches de soleil faisant briller ces cheveux bleu claire. J’ai continué à avancer lentement comme en transe.

Mais quand je fut à à peine 2 mètres d’elle. Je la vie remuer doucement. Ca m’a fait l’effet d’une douche froide. La peur d’être surprise en pleine admiration (justifier bien sur, on peu pas faire un tableau de splendeur sans s’attendre à ce qu’on soit admiré, Nyah), me fit faire demi-tour pour m’enfuir.

Cependant dans ma panique (j’panique souvent moi) je ne vie bien évidemment pas la seule racine du coin a dépassé de la terre. Et je me pris les pieds dedans en m’étalant tout du long. Je crois même que j’ai poussé un petit cri qui fini de sortir la belle de son inconscience. En me relevant j’essayais de remettre de l’ordre dans mes habits et remis correctement mon serre tête dans mes cheveux, et je finis par me retourné doucement, je vie ses yeux d’un rouge pâle sublime. Je ne sais pas comment je vais justifier ma présence en ces lieus si je ne peu pas parlé… Je reste donc figé à attendre qu’elle dise quelque chose, n’importe quoi temps qu’elle ne laisse pas ce silence rester.

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[Yataaaa pas biiiien, tu fais plein d'fautes d'orthographe trop horribles xD J'sais qu'tu sors d'un bac S, m'enfin quand même... *sort* Enfin bref, j'dis ça j'dis rien ! (Et cette expression est trop inutile mais c'est pas grave...) :p]

Kitaii en était toujours à sa contemplation du vide, lorsqu'un bruit sourd vint perturber ses rêveries habituelles... N'y prêtant que peu d'attention au début, elle ne se retourna même pas, ne cilla pas, et finit par l'ignorer complètement, et vaquer tranquillement à ses occupations : à savoir à ne rien faire. Un second bruit, bien plus important cette fois, finit tout de même par la faire réagir. Calmement, la jeune femme jeta un œil en direction de la source des sons qui l'avait 'perturbée', si l'on pouvait le qualifier ainsi. A quelques mètres à peine, une fillette un peu moins âgée qu'elle venait de s'étaler pitoyablement par terre. Sa chute en aurait sûrement fait rire, ou au moins sourire plus d'une, mais Kitaii s'en fichait éperdument.

Comme elle en avait l'habitude à chaque fois qu'elle rencontrait -ou qu'elle voyait, plus simplement- quelqu'un qu'elle ne connaissait pas, Kitaii entreprit de détailler l'inconnue. Âgée de 13, ou peut-être de 14 ans, mais pas beaucoup plus, la gamine portait des oreilles et une queue de chat, et des vêtements dans les tons plutôt sombres, pour ne pas dire noirs pour la majorité. Elle était plutôt petite, ce qui, aux yeux de l'adolescente, rendait la scène encore plus ridicule. Ses cheveux étaient d'un gris qui semblait naturel au premier abord, et qui l'était d'ailleurs sûrement. Ses yeux, quant à eux, avaient plus ou moins la même couleur que ceux de Kitaii, ce qui l'amena tout de suite à en conclure qu'elles portaient toutes deux des lentilles.

La petite semblait gênée, et ne disait pas un mot. Évidemment, Kitaii n'avait pas fait un seul pas pour l'aider. L'inconnue s'était donc relevée d'elle même, relativement facilement du reste (ce n'était pas bien compliqué), et n'osait visiblement pas prendre la parole. La jeune femme hésita un moment. Pourquoi ne pas faire durer ce silence, et le trouble qu'il causait inévitablement chez celle qui allait peut-être devenir son interlocutrice ? Si elle tenait tant à engager une conversation, elle n'aurait qu'à dire quelque chose, n'importe quoi... Après quelques secondes d'intenses réflexions, qui en réalité ne lui occupèrent l'esprit qu'une fraction de seconde, Kitaii finit par daigner se lever, et se rapprocha encore plus de la collégienne.

"Tu vas bien ? Rien de cassé ?"

Bien plus que parce qu'elle s'en souciait, l'adolescente avait demandé cela par pure politesse, puisque c'est la première chose que ses parents lui avait apprise, et qu'elle se devait de toujours paraître parfaite aux yeux de tout le monde, sauf aux siens... Kitaii détestait toutes ces bonnes manières, tellement hypocrites... Elle ne s'était pas présentée, et c'était certes généralement ce que l'on faisait avant toute autre chose, mais la situation ne s'y prêtait pour le moment pas. La jeune femme regardait maintenant son interlocutrice droit dans les yeux, des yeux qui l'effraieraient probablement, mais elle n'en avait rien à faire. Si tel était le cas, elle n'avait qu'à fuir, Kitaii ne la retiendrait pas...

[j’fais tant de fautes que ça O.O… Bon ben je dirait pas que j’ai relus 15 milles fois tout mes messages avant de les poster et on va passer la suite OK ? Non ? ben vous avez pas le choit merde]

Nous sommes resté je ne sais pas trop combien de temps, trop longtemps d’après moi, à ne rien faire. Elle ne bougeait pas, j’me suis même demandé si elle m’avait vraiment vue. J’ai carrément oublié ma peur pendant quelques secondes à me demander si elle allait bien. C’est une étrange impression que d’avoir l’impression que ne pas exister pour quelqu’un qui est à cotés de soit.

Soudain, enfin pour moi parce que elle, elle faisait tous ses gestes avec lenteur et précision, elle se lève et se rapproche de moi. Je suis encore figée, j’attends sans bouger d’un pouce. Elle s’arrête en face de moi et elle me demande si je vais bien. A ce moment, ce n’est pas tant la simplicité de la question (qui aurait pus imaginé que cette personne puisse faire quelque chose de simple), mais le ton totalement indifférant qui me perturbas. En effet pour en faire les frais régulièrement, je sais que quand quelqu’un demande comment va une autre personne, il a un regard soit compatissant ou suivant la situation (comme là (exemple prit au hasard ) ) il peut rire de la personne… Enfin quelque chose qui indique qu’il s’en préoccupe un tant soit peu. Pourtant je n’avais pas l’impression que ça avait un quelconque impact sur elle que je sois tombé… Enfin pas que je pense que ça aurait dû la traumatiser ou quoique ce soit, mais un petit quelque chose, une émotion ou un sourire compatissant, même le rire m’aurais rassuré. Mais là il n’y avait rien. Ni bien, ni mal. Rien.

Oups, je crois que ça fait un moment que je la regarde dans les yeux sans bouger… Oh non ! Je suis trop bête elle doit me prendre pour une demeurée… Il faut que je réponde à sa question :

- « Ano… Je vais bien Arigato-gozaimasu, Sempai ! » Je dis ça très vite tout en me penchant vers l’avant. Et en me relevant, je continue en souriant « Je m’appelle Kazekage Riko, je viens d’arriver et je me suis perdue dans les cerisiers. "

J’attends gentiment sa réponse et lève ma main comme pour prendre la sienne ( vous savez comme quand des gens normaux se présentent les uns aux autres). Toute souriante j’attends qu’elles ce présente à son tours ayant déjà oublié mes interrogations d’il y a même pas 30 secondes

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['J’fais tant de fautes que ça O.O… Bon ben je dirais pas que j’ai relu 15 mille fois tous mes messages avant de les poster et on va passer la suite OK ? Non ? ben vous avez pas le choix merde'
Les mots en rouge étant les fautes que j'ai trouvé rien qu'en deux lignes, oui, j'dirais qu'tu fais tant d'fautes que ça, mais on t'en veut pas. XD]

Cette fille était... Étrange. Elle fixait depuis un bon moment Kitaii, visiblement troublée, perdue dans ses pensées. Elle devait se demander ce qui pouvait bien clocher chez Kitaii. Elle qui ne montrait aucune compassion, et gardait un ton parfaitement neutre en toute situation. A vrai dire, c'était plutôt elle que l'on pourrait qualifier d'étrange. D'ailleurs, c'était bien loin de la déranger. Elle avait toujours refusé de se fondre dans la masse uniforme de toutes ces adolescentes hystériques et complètement superficielle... Même si elle devait pour cela se faire dévisager par tout le monde. Elle s'en fichait. Elle était ce qu'elle était, et rien ni personne ne la ferait changer. Elle assumait. Mais là n'est pas le sujet.

Lorsqu'elle lui répondit enfin, ce fut à une vitesse incroyable, et avec une hésitation au tout début... Elle se pencha vers l'avant, sans doute pour la saluer. L'adolescente n'avait pas prit cette habitude là pour dire bonjour, mais après tout, pourquoi pas ? Elle se présenta, attendant sans doute en retour que l'adolescente se présente à son tour. Loin de trouver très utile de connaître le prénom de son interlocutrice pour tenir une conversation, mais se sentant tout de même un tant soit peu obligée de répondre à ses attentes, Kitaii finit par articuler, avec son flegme habituel :

"Kitaai Hakumei. La prochaine fois, tâche de te trouver un plan, ça t'évitera ce genre de surprise."

Maintenant toute souriante, la dénommée Kazekage Riko lui tendit la main, comme chaque être normalement constitué et poli qui se présentait à quelqu'un. Résignée, la jeune femme tendit la sienne à son tour, et serra la petite menotte de son interlocutrice, sans la moindre trace d'une quelconque émotion. La collégienne se ferait sans doute une piteuse image de sa personne, mais peu importe. Il faudrait bien que les gens s'habituent à sa neutralité.

[T’était pas non plus obligé de les mettre en rouge vif ces foutues fautes.]

Elle me tend à son tours sa main et se présente, enfin elle a dit son nom quoi… Et elle me conseille de prendre un plan pour les prochaines fois. J’savais même pas qu’une école pouvait être assez grande pour avoir besoin d’un plan rien que pour l’extérieur (en plus même avec un plan paniqué comme j’étais ça m’aurais certainement pas servi à grand chose)… je remarqué que malgré l’air totalement indifférent qu’elle prenait, je la trouvé pas méchante, donc pour moi c’était amplement suffisant pour faire connaissance. J’ai donc commencé à me détendre et sourire un peu plus.

Je regarde autours de moi et me fis la réflexion qu’il était peut être temps de se rendre au Hall d’entrée. Et maintenant que je n’étais plus toute seule ça me rassuré un peu. J’essayais donc de convaincre ma nouvelle Sempai, sans avoir l’aire trop égoïste, de m’accompagné. C’est donc un peu gêné que je lui demande.

-"　Ano.. Vous voulez bien rentrer avec moi jusqu’au Hall. Onegai…　" Je crois que un peu inconsciemment j’avais fait des yeux suppliants (du style chibi ^^). Puis je rajouté assez vite, parce que je voulais pas la forcée non plus (quoique je suis pas sur qu’on puisse la "　forcé　" a faire quelque chose). "　Mais ne vous inquiètez pas si vous ne voulez pas, Nyah　! Chuis une grande maintenant et je suis sure capable de me retrouvé, enfin sans doute.　"

J’espère que je ne montrais pas trop que je n’avais vraiment pas envi de retourné toute seule là-bas et puis elle n’avait pas vraiment l’air occupé (sauf si être plongé dans ses pensées est une activité qui demande un temps complet). Mais peut être qu’elle ne voulait pas …

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[Si, fallait bien qu'tu les voies. XD]

Lentement mais sûrement, la petite collégienne sembla se détendre. Son sourire s'épaissit, éclairant son visage innocent et enfantin (quoi que, pas si innocent, mais ça, Kitaii l'ignore, donc on va pas en tenir compte. *sort). Elle ne semblait pas avoir peur de la lycéenne qui, bien qu'âgée de quelques années supplémentaires et, surtout, relativement distante, ne faisait rien qui puisse donner envie à quelqu'un de rester avec elle. La dénommée Riko n'était toutefois pas impressionnée, et la suppliait maintenant presque de l'accompagner jusqu'au hall. Elle devait avoir peur de se perdre une nouvelle fois.

Kitaii hésita. Elle n'avait pas grand chose à faire, certes, mais elle aimait bien cet endroit. La vue était magnifique, et elle pouvait y être seule. Du moins, tant qu'une empotée ne venait pas troubler ses réflexions en se cassant la figure à seulement quelques mètres d'elle, complètement paumée et désemparée. La jeune femme n'avait aucune envie de quitter la colline, et encore moins les cerisiers, mais elle se sentait en quelque sorte obligée d'aider cette gamine. De toute façon, elle devrait bien finir par rentrer elle aussi, alors si elle pouvait être utile... C'est d'un air approbateur, mais légèrement ennuyé qu'elle lui répondit.

"Si tu y tiens... Allons-y dans ce cas, plus vite on y sera, mieux ce sera."

L'adolescente poussa un soupir, quelque peu ennuyée. Elle ne détestait pas lé présence d'autrui, mais elle ne l'appréciait pas réellement non plus. Les autres pouvaient être tellement... puériles et encombrants. Et puis, pourquoi se sentaient-ils tous obligés de toujours combler les blancs qui pouvaient faire leur apparition dans les conversations ? Kitaii aimait le silence. Dans ces moments-là, le vent soufflait en elle, comme s'il essayait de lui faire comprendre quelque chose... Qu'elle ne comprenait jamais, évidemment, mais au moins, elle avait l'impression que quelqu'un, ou plutôt quelque chose, s'intéressait réellement à elle et tentait de lui redonner une once d'humanité, qu'il faut bien l'avouer, elle avait perdue.

Accompagnée de la fillette, maladroite et visiblement dotée d'un très faible sens de l'orientation, Kitaii prit donc le chemin du hall...

Yata, elle m’a dit oui. Ca me fit énormément plaisir, non seulement je n’étais plus toute seule, ce qui était déjà beaucoup　; Mais en plus elle acceptait d’être avec moi. Soit ça veut dire qu’elle craint que je sois trop idiote pour me retrouver, soit ça veut dire que ma présence la gêne pas trop (si ça n’dérange personne je vais choisire la seconde option, merci). C’est donc toute souriante que je débutais le chemin de retour avec ma nouvelle Sempai. Après l’avoir remercié en long, en large et en travers^^.

Le chemin, je pouvais le deviner à peu prés entre ces grands arbres. Mais je préférais rester prés de ma Sempai (je crois que je vais finir par dire Sempai très souvent moi ^^’). Comme elle ne semblait pas très intéressé par une longue discussion sans grand intérêt (que je savais si bien faire), je restée plutôt calme regardant le paysage auquel je n’avais pas fait attention à l’allé… Sauf, j’ai pas pus résister, quand j’ai vue un écureuil courir sur une branche, je l’ai pointé du doigt en faisant de grands gestes pour le montrer à ma Sempai. Mais c’est trop mignon un écureuil, j’pouvais pas le laisser partir sans le montrer. Mais ça n’a pas beaucoup intéressé ma Sempai qui a juste tourné la tête dix secondes et a continué son chemin.

[ la suite dans le Hall de l’entré]