Après 4h de trajet, mon taxi s’arrête enfin. Pas que je sois contre ce genre de transport mais on va dire, pour faire simple, que l’immobilité dans un espace clos n’est pas ma tasse de thé, en plus Ten-chan a dut nous suivre de dehors. En faite, j’m’étai mis dans l’idée de faire le voyage à pied mais la tête de ma Onee-chan quand je lui ai dit m’a fait un peu peur et m’a convaincu que je devais l’écouter (apparemment faire les ¾ de la ville à pied et seule n’est pas une bonne idée, Nyah!). Elle a soupiré en me disant qu’elle appellerait elle-même le taxi et vérifierai que je soi bien dedans avec ordre au chauffeur de ne pas me stopper avant l’arrivé à l’Académie. Ce qu’il a exécuté à la lettre. Enfin heureusement ma Onee-chan m’a balancé à la tête un sac remplit de manga et mon MP3 qu’elle avait préparé à l’avance. Pas que j’en avais pas dans ma valise mais tout était dans le coffre et j’y avais pas accès. Pauvre de moi séparer de mes manga préfère par cette immonde barrière. J’étais vraiment contente quand j’ai découvert ce qu’il y avait dans ce sac.

Bref, me voici donc à l’entrée de Seijutsu Gakuen, frustrée d’être resté immobile aussi longtemps et n’ayant pas envie de me prendre la tête avec des problèmes administratifs dont j’y comprends de toute façon rien. C’est donc d’un pas décider que je me dirigeais vers les jardins dont ma Onee-chan m’avait tant parlé pour leur beauté, j'ai hate, Nyah! Déjà que l’allée de l’entrée m’avait figée tellement c’était grand, j’imaginais même pas comment pouvait être les jardins. J’étais donc en train de courir gaiement sur le chemin, toute contente de pouvoir me déplacer librement. Quand j’eu l’idée de me promener dans la foret qui border ce chemin. J’admets que je suis assez dissipé et je peux facilement oublier une envie pour une autre tant que ça n’a pas de réel incidence sur les autres. Enfin me voilà plongé dans la forêt. J’aime beaucoup les endroits dans ce style : beaucoup de verdure, calme et apaisant… Je trouve ça vraiment agréable, en plus il y a beaucoup de points d’ombres pour Ten-chan. Continuant mon investigation je découvre rapidement ce qui fait mon bonheur : un arbre assez haut et facilement escaladable. Loin d’avoir le vertige j’affectionne particulièrement les lieus en hauteur, Nyah!. C’est marrant de ce dire que nous, on a une vision d’ensemble de ce qu’il ce passe en contre bas mais que personne n’a l’idée de regarder en haut pour nous surprendre. Enfin ni une ni deux me voilà sur une branche assez haute, équiper de mon sac et de ma valise, MP3 sur les oreilles (mes vrais pas celle de chats, Nyah!) ; je me détends et respire calmement. Malgré mais quelques fureurs et mes déambulement, j’admets être plutôt stresser d’entrée dans cette Académie, c’est vrai quoi : je ne connaîs personne, je n’sais même pas si je vais réussir à me diriger dans le couloir (parce que si je peut me débrouillée en pleine forêt, dans les couloir d’un bâtiment c’est une toute autre histoire, Nyah!).

Enfin pour l’instant je suis au calme dans cet environnement apaisant. Malgré les légers courants d’aire frai, tout va bien. J’essaye de m’en convaincre en tout cas. Je règle ma montre pour qu’elle sonne dans 1h30, à 12h35 donc, parce que ça aussi j’ai du mal. Gérer mon temps n’est pas chose facile. Tant que rien ne me perturbe, je peux rester des heures (voir une foi ça a durée 1 jour et demi avant que Setsuna nee-chan me retrouve dans un parc, grâce à Ten-chan, en train de lire tranquillement, et j’ai oser lui dire que j’en avais plus pour longtemps à finir la série que je lisais -////-,Nyah!) sans m’en rendre compte si j’ai quelque chose à faire qui me passionne. Donc maintenant je fais très attention à cette petite sonnerie qui résonne de ma montre… Enfin bref, me voilà partie pour une lecture passionnante d’un groupe de personnages qui tient un café et à qui il arrive (par la faute des personnages eux-mêmes) des truc pas possible… J’adore, c’est marrant mais il n’y a pas vraiment d’histoire. Enfin j’ai même pas fini le tome 2 (sur trois) que j’entends ma limite de temps sonner comme un Gong. Dépiter j’hésite quelques secondes à me mettre ¼ d’heure de plus avant de renoncer en me disant que ça servait à rien de me mettre une limite si c’était pour la repoussée (j’admets que j’ai pas souvent ce résonnement de sage fille qui écoute ce qu’on lui dit mais de temps en temps ça m’arrive, Nyah!). C’est donc à contre cœur que je range précieusement mes manga et commence à descendre de l’arbre que je considère maintenant comme mon favori. Après un dernier salut pour l’arbre (je suis persuader que toutes choses vivantes (ou non d’ailleurs) ne m’en voudront pas si je leurs parle, Nyah!) je cours vers le chemin que j’ai quitter plus tôt pour rejoindre les problèmes que j’ai oublié pendant ce petit moment de répit.

En me dirigent vers le Hall d’entrée je vois de plus en plus de personnes. Toutes de jolies filles plus gracieuses les unes que les autres, je crois que je n’arriverait jamais à aborder qui que ce soit. Je sens mes joues chauffées affreusement je baisse la tête je ne sais pas trop a qui je devrais m’adresser. J’approche lentement de l’entrée et j’entre.